Les intruments nécessaires à toute plongée sont :
Que ce soit de l'air, du Nitrox ou du Trimix, un plongeur doit avoir sur lui un moyen de calculer ses paliers de décompression, la méthode la plus fiable est l'utilisation de tables de plongée. Néanmoins, de plus en plus de plongeurs utilisent un ordinateur de plongée qui calculent la décompression en intégrant régulièrement les paramètres de la plongée. Ces instruments permettent ainsi, lors de plongée multi-niveaux, de ne pas être pénalisé par les profils "carrés" des tables de plongée. Les plus avancés permettent également de télécharger les données des plongées sur micro-ordinateur, de modifier des paramètres de conservatisme ou même de calculer le débit respiratoire du plongeur par le biais d'un capteur de pression monté sur le 1er étage.
Dans le cas de la plongée au Trimix et multi-mélanges, il existe peu d'ordinateur. Les premiers ordinateurs sont annoncés à des prix prohibitifs. Ce qui fait que la très grande majorité des plongeurs Trimix ou multi-mélange utilisent des tables de plongée et un profondimètre. Une ardoise permet de noter les paramètres de la plongée prévue. Il peut être utile de disposer d'un ordinateur de plongée qu'on peut utiliser comme profondimètre, on peut ainsi utiliser le Suunto Vyper, ordinateur Nitrox ou le Dive-Rite Nitek3, ordinateur multi Nitrox. Corinne LAMBERT sur la mailing list aquatek, propose en cas de plongée Trimix d'utiliser un ordinateur Nitrox simple et de le configurer en Nitrox 50, ce qui lui permet de toujours avoir la profondeur indiquée, en effet, avec un ordinateur non trimix, le fait de ne pas faire les paliers préconisés par l'ordinateur va le faire beeper sous l'eau et après quelques minutes ca devient désagréable.
Le profondimètre et le chronomètre sont souvent un
même instrument numérique,
souvent appelé "timer" qui vaut quelques centaines de francs. La
technique DIR
préconise de porter le timer au bras droit, avec l'ardoise, et
de fixer la boussole sur
le bras gauche. En effet, la main droite peut manipuler un scooter et
dans ce cas, les
instruments principaux doivent rester visibles. De plus, lors de la
remontée, la main
gauche manipule les purges et les robinets des bouteilles de
décompression, si on remonte
en pleine eau, il est préférable de toujours pouvoir
jeter un coup d'oeil sur ses
instruments.
Pour la boussole, j'aime beaucoup la SK6 de suunto car elle est très plate et très fiable. J'ai eu trop de boussole qui se bloque et qu'il faut tapoter pour qu'elle pivote. J'ai remplacé le bracelet standard par une sangle velcro, certains préfèrent le caoutchouc (sandow ou tube chirurgical).
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